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Wrecking Crew

Wrecking Crew

Une marque W&W Cycles pour les pièces de moto, technologie, T-shirts et tout ce qui tourne autour quand les choses deviennent rapides et bruyantes.

Depuis notre création en 1979, nous n'avons pas fait les choses à la légère sur nos Harley-Davidson.

Nous avons participé à des courses de dragsters, à des courses de côte, à des raids d'aventure à moins 40 degrés sur les routes gelées du Canada ou dans la boue de la jungle sud-américaine, à des beach races en Normandie, ou à des courses de flat track poussiéreuses. Et bien sûr, il arrive que quelque chose casse, un cylindre qui se fend, un carbu qui avale du sable ou un carter de boîte de vitesses cassé. C'est à ce moment-là que nous sortons les outils et que nous réparons la panne, sur la piste, dans le camion, dans le garage. C'est notre attitude Wrecking Crew bien typique, sauvage et brutale, tout comme celle des premières années Harley.

Cette attitude à l'égard de nos motos (et de la vie en général) peut également être portée. Style décontracté, qualité supérieure, du coton robuste au tricot de laine épais, bref: tout pour un look parfait, sur et hors de la moto, dans l'atelier, en boîte de nuit - ou sur votre canapé.

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Produits de Wrecking Crew dans notre boutique:

Wrecking Crew T-Shirt Never Stop Kicking
Wrecking Crew T-Shirt Never Stop Kicking
Wrecking Crew T-shirts Artist Edition N°1 Matt Wilkins : „Never stop kicking“ Matt Wilkins, dont le nom d’artiste est Matt Sabbath (Ozzy, c’est un de tes grands fans), est Anglais de naissance, mais préfère passer son temps à Barcelone. On le comprend en ce qui concerne le climat et la bouffe. Il ne nous a pas fallu longtemps pour le rencontrer, puisque nous avons une filiale en Espagne. La devise du motif nous trottait déjà dans la tête depuis un bout de temps et avec Matt, nous avions la bonne personne pour placer ça avec style sur un T-shirt. La série de t-shirts "Wrecking Crew Artist Edition" est une démarche qui met en scène des artistes du monde entier et leurs interprétations très personnelles de la marque "WRECKING CREW", ainsi que l'état d'esprit qui l'accompagne. Ce n'est bien sûr pas un simple hasard si tout cela concerne les Harley-Davidson - et toutes les autres marques de motos classiques. En fin de compte, Wrecking Crew représente le simple plaisir de piloter des motos sur les routes de ce monde, en tout-terrain, sur les pistes de flat track... et la joie de bricoler, construire et concevoir des motos. Sans oublier les événements et les amitiés qui en découlent. Bref, il s'agit de ce que l'on appelle aujourd'hui la "custom culture". Les motifs de ces T-shirts sont conçus exclusivement pour le label Wrecking Crew. Les artistes sont issus de tous les domaines des beaux-arts et de la "culture moto" : Illustration, tatouage, pinstriping, peinture, photographie, IA, design, écriture... Seuls des T-shirts classiques en coton de haute qualité sont utilisés. Ils sont imprimés en sérigraphie, avec jusqu'à 6 couleurs sur le devant et le dos, en édition limitée à 100 exemplaires. Deux éditions sont déjà disponibles dans la boutique W&W : Édition 1 : "Never Stop Kicking" par Matt Wilkins, alias "Matt Sabbath", un Londonien vivant à Barcelone avec une chaîne Instagram qui compte 18 000 followers. Édition 2 : "Sparking Hot" par Charlie Lecach, Nice, France, journaliste spécialisé de longue date pour des magazines de moto, historien et collectionneur d'objets historiques Harley-Davidson. Les prochains motifs sont déjà en cours d'esquisse, d’aérohgraphe, de pinstriping, de crochet, de soudure, etc.
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The Mud of no Return
The Mud of no Return
Qu’est ce qui peut bien pousser quatre gars adultes et responsables, à pousser leurs V-Twins jusqu’à un endroit qui grouille de moustiques, de guérilleros déchaînés, de sinistres paramilitaires, de trafiquants de drogue paranoïaques et d’indigènes désespérés, qui ont tout fait à leur niveau pour éviter que les derniers kilomètres manquants de la Panamericana soient construits. Certains appellent c ette tache blanche sur la carte routière le “Darien Gap”, pour les quatre gars qui y ont été, c’était simplement la Mère de toutes les Rou tes, la boue de non retour. Ils ont tenté de boucler ce dernier tronçon de la route, qui relie les deux Amériques. Ils étaient aux guidons de machines de Milwaukee, modifiées décemment avec du matériel pris sur les étagères W&W. Le raid les a confrontés à quelques contrôles de poli ce, à des camionneurs suicidaires, des lits d’hôtel pouilleux, des hordes de cafards, des passages de rivières hasardeux, des pluies trop icales, de la bière panaméenne et des allumeurs bricolés avec les moyens du bord – pour se terminer dans la boue. De la boue à en dépasser l’ imagination. De la boue sans fond, au point que seul un camion Big Foot à quatre roues motrices pouvait délivrer les motards intrépides. Un spécimen de cette boue légendaire est encore conservé à ce jour dans un coffre-fort climatisé de W&W. Une sorte d’avertissement au reste du monde qu’aucune route est aussi impitoyable que la Mère de toutes les Routes, la Panamericana.
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The Other End of the Road
The Other End of the Road
CYLINDREE ET CLARETE DANS L’ARCTIQUE A moins 40 degrés, le monde devient soudainement totalement transparent, fin et impeccable. Notre propre souffle devient alors l’une des seules choses nébuleuses, sans oublier les gaz d’échappement des deux Harley sur la route de glace, qui coule sous forme de rivière Mackenzie jusqu’à la baie de Beaufort, lorsque les journées sont plus chaudes. Là haut, vers Tuktoyaktuk, dans les territoires nord-ouest du Canada, où le trafic routier du continent américain s’arrête, il ne reste plus qu’un seul credo : „Don‘t get stuck in Tuk !“ Les pages suivantes sont une tentative, de ramener un peu de cette expérience à la maison, qui consiste à rouler avec deux Harley sur une Ice Road. Malgré les apparences, une chose est certaine, ce n’est pas dangereux, même si certains tentent de vous faire croire le contraire. Evidemment, une telle aventure demande une bonne préparation, d’infinies précautions et beaucoup de bon sens. En plus, il ne s’agit pas de la première expédition dans laquelle W&W Cycles met des bécanes de Milwaukee sur des routes, que d’autres ne considèreraient même pas comme des routes : 1995 : THE MUD OF NO RETURN. La Panamericana entre le Panama et la Colombie. Problème : un trou dans la chaussée. Pas un nid de poule : le Darien Gap. La tentative d’éviter cette brèche de 110 km avec des Panheads et des Shovelheads, reste bloquée dans une gadoue monstrueuse causée par les conditions météo plutôt humides. 2005: EAT DUST. Tempête et graviers sont synonymes de Ruta 40. En direction d’Ushuaia, en Terre de Feu, vers la bière la plus australe du monde. C’est exactement là, sur l’une ou l’autre des gorgées, que se pose la question de savoir à quoi ressemble l’autre extrémité de la route, tout là haut dans le nord. Et comme personne n’en a aucune idée, il n’y a plus qu’une chose à faire : faut y aller. Aussitôt dit, aussitôt fait, roulé, gelé et imprimé. On allume donc sa cheminée, on se prend à boire et on continue à feuilleter. Sans jamais oublier : A BIKER’S WORK IS NEVER DONE. Et la prochaine route attend déjà, au loin.
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Eat Dust
Eat Dust
4 hommes, 8 cylindres, 3000 bornes, pas de pitié! Ceux qui pensaient qu'avec l'opération Panaméricaine (Darién/Panama 1996) le sommet de la folie 2 cylindrée était atteint, doivent maintenant passer à la vitesse supérieure. Le plan Le 6 janvier 2004 à 21h45 HEC quatre sympathisants des fin fonds des catacombes huilées de W&W prennent le départ avec deux Knuckleheads à cadre rigide, une Panhead à cadre rigide (approuvée Panaméricaine) et une Sportster evolution pour une virée du genre « sans pitié »: De Buenos Aires/ Argentine à Ushuaia, sur la fameuse Ruta 40 à travers la Patagonie et le Chili vers la Terre de Feu, là où les pingouins souhaitent bonne nuit aux baleines.. cela parait plutôt correct comme excursion, n'est-ce pas? Alors jetons-y un coup d’œil de plus près: 3000 km d'asphalte impitoyable – ou ce que cela veut bien dire en Patagonie - et plus de 2000 km de piste de gravier – et on parle ici de gra-a-a-a-a-avier. D'innombrables plaines sans civilisation, des montagnes bizarres et du vent qui souffle avec plus de véhémence qu'une V-Rod roulant à la nitro. Fidèle à notre devise « We ride what we sell » les quatre cavaliers patagons sont assis sur le top des catalogues W&W des dernières années. Et le service d'escorte 4x4 reste à la maison – c'est donc pas un tour de chiffes molles! Dormir? En tente, et encore. Manger? Tout ce qui s'incline face au Leatherman. Boire? La bière la plus au sud du monde. Le toast? It‘s not the end of the world, but we can see it from here. (Ce n'est pas la fin du monde mais on la voit d'ici)
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